Depuis la sortie de de Windows 8 avec sa nouvelle interface semi-tactile, je lis souvent des commentaires dans la presse spécialisée relatant le fait que malgré toutes les critiques faites par les utilisateurs sur la nouvelle interface, ces derniers faisaint toujours le choix de cet OS puisqu’il y avait toujours plus de 90% des ordinateurs qui tournaient sous Windows. A titre de comparaison, LINUX doit être utilisé par moins de 2% de la population.
Je ne voix pas personnellement, ce qu’il y a de surprenant dans cette apparente contradiction car en fait les utilisateur ne choisissent pas vraiment leurs OS lorsqu’ils achètent un micro puisque de toute façon quasiment 100% des machines présentées en grandes surfaces sont sous Windows.
Bien sur, il y a les machines Apple, mais ces dernières sont réservées aux personnes branchées et ayant les moyens (les premiers prix avoisinant les 1 000 €).
En fait le plus grand défaut de Linux est de ne pas être pré-installé sur les machines du commerce et cela peut faire peur, souvent par manque d’information, d’installer une distribution soit-même.
Trêve de polémique. Ce que nous vous proposons, comme article, c’est un retour d’expérience de l’utilisation d’un PC sous Linux Ubuntu, comme machine de développement.
Bien sur, si votre but est de développer des applications exclusivement pour Windows, je vous conseillerais d’utiliser un poste Windows en utilisant le langage principal de la plate-forme : C# (même si je défère Delphi, qui comporte un environnement RAD   beaucoup plus efficace que VisialStudio et qui permet aussi de développer pour Mac et Android). C’est également vrai pour Mac. Par contre, pour du développement Web en PHP, des programmes en Java coté serveur ou pour Android ou l’utilisation d’autres langages comme Python ou Ruby, vous trouverez votre bonheur sous Linux en terme de compilateurs, IDE   et autres outils de développements. Sans compter, l’accès à tous les utilitaires en ligne de commandes du monde UNIX/LINUX (comme awk par exemple) dont on a du mal à ce passer quand on a pris l’habitude de les utiliser.

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